Mathilde Cornaille

Mathilde Cornaille

Mathilde Cornaille est une jeune auteure belge de 30 ans. Le monde de l’écriture s’est ouvert à elle très jeune, après qu’une psychologue lui ait conseillé d’écrire toutes ses pensées suite à sa maladie. C’est à l’adolescence qu’elle écrira son premier livre autobiographique « La vie continue » et quelques années plus tard, son premier roman d’aventure « L’encre de l’oubli ». Au détour d’un concours de nouvelles aux éditions Panthère, elle découvrira que l’univers noir lui plaît également et terminera troisième sur le podium. Elle ne compte pas s’arrêter là, puisque d’autres projets sont déjà en cours d’écriture…  

Elle est là, assise sur ce banc, comme chaque matin, un cahier à dessin à la main. Elle trace les courbes du monde qui nous entoure tandis que je sens le mien se transformer à tout jamais. Elle est là, si proche et si loin à la fois. J’ai le sentiment de la connaître depuis toujours, comme si une existence s’était écoulée et que nous l’avions passée ensemble. Elle est là, comme si elle y était juste pour moi… Tant que nous sommes ensemble, le soleil se lèvera. Et si la vie ne tenait qu’à un fil et qu’il fallait le couper pour faire le grand saut ?

La vie continue

 « Une maladie, c’est comme un mauvais rêve. Ça nous poursuit, même après en être sorti. »
Victime d’une anomalie sanguine à la naissance, Mathilde trouvera la guérison après une longue période de souffrance. Malgré les séquelles dans son corps, son cœur et son âme, elle reste positive et ouverte aux belles choses de la vie. Cet ouvrage est pour elle un témoignage et le partage d’un message d’espoir. 

l’encre de l’oubli

En proie aux immenses vagues corses, Lucas est englouti par la mer, emportant avec elle une partie de son existence. Quatorze ans plus tard, au détour d’un hasard, il tombe sur un carnet rouge qui a tant de choses à crier mais que Lucas empêche obstinément de parler. Chaque mot, chaque page est un rebond, une onde révélatrice des souvenirs perdus. Et si les personnes que nous avons tant aimées un jour, restaient gravées dans les songes d’une mémoire effacée ?

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